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Contretemps, contrecoups
05:21
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CONTRETEMPS, CONTRECOUPS
Plus souvent qu'autrement,
Le vent se lève et nous brasse.
On passe un sale moment,
Pris en otage dans des orages.
Il doit bien avoir une raison pourquoi
Des drames en série
Nous arrivent comme ça.
Faire foi, faire fi,
C'est une question de choix,
Comme pour contrer ses bourreaux
Nourrir la mauvaise part en soi.
Chaque entrave n'est jamais là pour rien,
C'est pour faire notre force
Tout le long du chemin.
Contretemps, contrecoups
Contretemps, contrecoups,
On ne sait pas jusqu'où on peut aller.
Contretemps, contrecoups
Contretemps, contrecoups,
Le vent dans nos ailes,
Il faut se laisser emporter...
Implorer la providence,
Faire valoir son bon droit
Ou comme le font les lâches
Laisser mourir la loi.
Faire cavalier seul
N'est pas prêcher dans l'désert
À des sourds-muets-aveugles
Sans points de repère.
Contretemps, contrecoups
Contretemps, contrecoups,
On ne sait pas jusqu'où ça peut aller.
Contretemps, contrecoups
Contretemps, contrecoups,
Le vent dans nos ailes,
Il faut se laisser emporter...
Contretemps, contrecoups
Contretemps, contrecoups,
On ne sait pas jusqu'où on peut aller.
Contretemps, contrecoups
Contretemps, contrecoups,
Le vent dans nos ailes,
Il faut se laisser emporter...
Savoir comment on file,
À quoi on peut penser,
Ne plus se mentir
Et tout temporiser...
Si l'on sait d'où l'on vient,
Faut regarder où l'on va,
Pour ouvrir son chemin,
On regarde, on écoute, on repart...
Contretemps, contrecoups
Contretemps, contrecoups,
On ne sait pas jusqu'où on peut aller.
Contretemps, contrecoups
Contretemps, contrecoups,
Le vent dans nos ailes,
Il faut se laisser emporter...
On regarde, on écoute, on repart...
On regarde, on écoute, on repart...
Contretemps, contrecoups
Contretemps, contrecoups...
On regarde, on écoute, on repart...
On regarde, on écoute, on repart...
On regarde, on écoute, on repart...
On regarde, on écoute, on repart...
Paroles et musique : Marc Javelin © 2022
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2. |
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À BOUT DE PEINE, À BOUT DE MOTS
Elle est partie sans faire de bruit
Elle est partie un vendredi.
Vers quoi, vers qui au paradis ?
Elle avait donné la vie
Elle aura donné sa vie.
Le vent souffle encore
Et chaque enjambée devient pénible,
A courir pour courir sans but,
Sans même seulement
Se demander pourquoi.
À bout de peine, à bouts de mots,
Femme d'un seul homme
Qui l'a laissée dans ses sanglots.
À bout de peine, à bouts de mots,
Il ne lui restait plus rien
Qu'une lueur dans son flambeau.
Elle est partie sans faire de bruit
Vers quoi, vers qui au paradis ?
Tant de fois, une bonne fée
M'a sorti de la tourmente,
A courir pour courir sans but,
Sans même seulement
Se demander pourquoi.
À bout de peine, à bout de mots,
Il ne lui restait plus rien
Qu'une lueur dans son flambeau.
À bout de peine, à bouts de mots,
Elle a vu la beauté
De l'autre côté du rideau.
À bout de peine, à bouts de mots,
Il ne lui restait plus rien
Qu'une lueur dans son flambeau.
À bout de peine, à bouts de mots,
Elle a vu la beauté
De l'autre côté du rideau.
Elle est partie au paradis
Elle est partie et nous sommes encore en vie.
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3. |
27,000 jours
03:46
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27,000 JOURS
Est-ce qu'on vient ici pour prendre ?
Est-ce qu'on vient ici pour donner ?
Qui peut dire à partir de quand
On en fait trop ou pas assez ?
Si parfois on bloque des chemins
Entre un départ et une arrivée,
Certains d'entre eux mènent tellement loin
Après 27,000 jours
27,000 jours...
Orphelin qui a dû se battre
Contre la bêtise et l'ignorance,
Il lui a fallu prendre garde
De ne pas autant semer souffrance.
Si parfois les mots lui ont manqué
Pour dire à quel point il sut aimer,
Il aura pu se rattraper après 27,000 jours
27,000 jours...
J'courais après toi pour qu'tu coures après moi
Comme un jeune chien qui joue
Mais qui n'apprend pas.
Tu m'as donné beaucoup
Mais moi j'étais trop fou.
Je ne m'en suis aperçu que beaucoup plus tard.
27,000 jours
27,000 jours...
Est-ce qu'on vient ici pour apprendre
Et pour ensuite tout oublier ?
Qui peut dire à partir de quand
On doit s'asseoir et s'arrêter ?
Et si un jour, une main de fer
A pu dépasser la pensée,
Qui lancera la première pierre
Après 27,000 jours ?
27,000 jours...
J'courais après toi pour qu'tu coures après moi
Comme un jeune chien qui joue
Mais qui n'apprend pas.
Tu m'as donné beaucoup
Mais moi j'étais trop fou.
Je ne m'en suis aperçu que beaucoup plus tard.
27,000 jours
27,000 jours...
Paroles : Marc Javelin & François Jean
Musique : Marc Javelin
© 2005 - 2022
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4. |
Quand un héros s'en va
04:59
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QUAND UN HÉROS S'EN VA
Première neige dans la nuit
Sur nos terres blanchies,
Partout autour de lui,
On essayait de dormir en vain.
Depuis qu'il est parti,
Celle qu'il a aimée pleure dans son lit
Avec son enfant venue la consoler.
Il n'y aura plus jamais rien de pareil
Sa monture s'est tue.
Mais l'écho de ses tambours
Résonnera à jamais...
On a toujours le coeur gros
Quand un héros s'en va.
Quand son heure arrive,
On a peine à y croire.
On a toujours le coeur gros
Quand un héros s'en va,
Mais il nous faut poursuivre sans guide
Vers l'espoir.
Il n'y aura plus jamais rien de pareil
Sa monture s'est tue.
Mais l'écho de ses tambours
Résonnera à jamais...
On a toujours le coeur gros
Quand un héros s'en va.
Quand son heure arrive,
On a peine à y croire.
On a toujours le coeur gros
Quand un héros s'en va,
Mais il nous faut poursuivre sans guide
Vers l'espoir.
Paroles et Musique : Marc Javelin © 2022 SOCAN
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5. |
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Paroles et musique : Marc Javelin © 2022
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6. |
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Marc Javelin Montreal, Québec
Né à Montréal, autodidacte, intuitif, perfect pitch, multi-instrumentiste, adepte de l’euphonie. Il fait ses débuts comme
guitariste et chanteur à l’âge de 12 ans.
En 1990 il se fait connaître avec l'album "Corps et âme". On y retrouve une interprétation bien personnelle de “La légende du cheval blanc" de Claude Léveillée.
Autres succès: Danse immobile - Je pense à toi - 1 ou 2 ou 3 pas.
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